|  INGA 1er 
              décembre 2007 - par Johnny
 
 
  Inga 
              est une jeune vierge nubile suédoise qui emménage 
              chez sa tante Greta après la mort de sa mère. 
              Profitant de la naïveté et du joli minois d'Inga, Greta 
              planifie un stratagème complexe et douteux qui permettra 
              d'assurer les ressources nécessaires pour son style de vie 
              onéreux. Pour faire une histoire courte, Greta couche avec 
              un moustachu vicieux qui s'appelle Einar afin d'avoir suffisament 
              d'argent pour financer la voiture sport et le yacht de son jeune 
              amant Karl. De façon surprenante, c'est Sigrid, 
              la soeur d'Einar, qui paye Greta pour qu'elle baise avec son frère! 
              Pendant ce temps, Karl trompe Greta avec des benjamines bourgeoises 
              afin de satisfaire son appétit sexuel. Quand Greta apprend 
              que Einar préfère la compagnie de jeunes adolescentes, 
              elle offre Inga en pâture au vieux cochon. Pour ajouter à 
              la confusion, Frida, la servante de Greta, encourage tout 
              le monde à baiser avec tout le monde! Aaaaaah la Suède! 
              Quelques situations embarrassantes plus tard, Inga découvre 
              la masturbation et choisi celui qui va la dépuceler... Karl! 
              À la fin, les deux tourtereaux partent en croisière 
              et Greta se retrouve seule et ruinée. 
 Léger 
              en contenu érotique, ce film permet tout de même d'apprécier 
              le corps suréminent de la très séduisante Marie 
              Liljedahl. Malgré que les acteurs sont amorphes et perdus 
              au point qu'on a l'impression qu'ils tournent tous dans des films 
              différents, Inga est avant-gardiste par son traitement 
              de la nudité pubère et de la sexualité inter-générationnelle.
 
 
 ![Inga [Marie Liljedahl]](films_inga_01.jpg)       
 Avec Inga, on peut aisément considérer le réalisateur 
              Joe Sarno [Swedish 
              Wildcats] comme un pionnier du softcore, car il nous 
              présente ici un film ambitieux et déroutant.
 
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