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              PREACHERMAN 
              30 
              mars 2005 - par Lewis 
               
               Preacherman 
              relate les loufoques aventures d'Amos Huxley, un pseudo-preacher 
              plutôt particulier qui sévit dans les "backwoods" 
              de la Caroline du Nord. Après s'être fait pincé 
              à séduire la fille du Shériff local, notre 
              ami Amos aboutit chez le sympathique Judd Crabtree qui vit 
              seul avec sa fille Mary Lou, une bimbo qui se fait baiser 
              par tous les Billy-Bob du comté. Disons que notre preacherman 
              ne manque pas de bonnes idées quand vient le temps de "purifier" 
              la jeune délurée... Les belles paroles de l'homme 
              de Dieu réussissent à entourlouper le pas-très-intelligent 
              bonhomme Crabtree et ensemble ils travailleront à leur rédemption 
              en faisant [vous l'aurez deviné] du "moonshine"... 
              Mais les bons temps ne peuvent pas toujours durer, et lorsque le 
              preacherman essayera d'embarquer toute la communauté dans 
              ses histoires, le Shériff local reviendra mettre l'ordre 
              dans la cabane! Notre prêcheur a-t-il terminé de sauver 
              des âmes? 
               
              Typique petit film redneck à petit budget, dans la catégorie 
              que les acteurs en sont presque tous à leur premier 
              et dernier rôle.  Quand même, le réalisateur 
              Albert T. Viola fait du bon boulot dans le rôle du 
              preacherman. Ilene 
              Kirsten,  
              l'actrice incarnant Mary Lou, est maintenant une vedette de soap 
              operas aux États-Unis.  Les dialogues sont évidemment 
              tartes à l'os sauf peut-être les discours du preacherman 
              qui sont plutôt bien tournés. Comme d'habitude dans 
              ces films une petite toune kétaine nous explique l'histoire 
              à mesure qu'elle avance et plusieurs scènes de nudité 
              gratuites agrémentent le film question de garder l'intérêt 
              des ti-counes qui payaient pour aller voir ce navet au ciné-parc 
              en 1971. Le seul point marquant de ce film est la scène avec 
              le weirdo qui vit seul avec des poules... Redneck avez-vous dit 
              Redneck? 
               
              Rigolo, mais moins savoureux que "Ellie" 
              ou "Hot 
              Summer in Barefoot County" qui se retrouvent sur le 
              même DVD. 
                
            
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