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              TWELVE MONKEYS 
              15 
              février 2005 - 
              par Lewis 
               
             1996: 
              la population de la Terre est presque entièrement anéantie 
              par un virus... En 2035, les 
              animaux ont repris le contrôle de la surface de la planète 
              et seulement 1% de l'humanité subsiste dans des souterrains 
              où une civilisation post-apocalyptique c'est développée. 
              James Cole [Bruce Willis], un prisonnier sociopathe, est 
              renvoyé dans le temps pour enquêter sur "l'armée 
              des 12 singes", le groupe qui semble être à 
              l'origine de l'épidémie qui dévaste la planète. 
              Par erreur, Cole est renvoyé en 1990 au lieu d'en 
              1996 ce qui lui fait faire la rencontre de la séduisante 
              Kathryn 
              Railly [Madeleine 
              Stowe], une psychiâtre aux longues jambes, et du troublé 
              Jeffrey 
              Goines 
              [Brad Pitt], un crisse de freak. Son arrivée en 1990 brouille 
              les cartes de son enquête et vient même modifier le 
              trajet de l'espace-temps. Cole réussira-t-il à 
              retrouver les "douze singes"? Qu'adviendra-t-il de l'humanité? 
              Va-t-on voir les seins de Madeleine Stowe? 
               
              Superbe film à la facture visuelle immédiatement reconnaissable 
              comme étant celle de Terry Gilliam [Brazil, 
              Fear and Loathing in Las Vegas], Twelve Monkeys offre un 
              savant mélange de science-fiction post-apocalyptique low-tech 
              et de thriller psychologique inter-temporel. C'est comme ça 
              avec Gilliam, il faut inventer des catégories tellement ses 
              films sont innovateurs. La distribution est excellente et ca fait 
              du bien de voir Bruce Willis jouer pour de vrai. Je dois 
              avouer que Brad Pitt m'a agréablement surpris, son 
              interprétation du démentiel chef des 12 singes est 
              superbe et freakante à souhait. Comme dans les autres films 
              de Gilliam, les symboles et les références culturelles 
              pleuvent et on a souvent le feeling qu'on ne comprend pas tout ce 
              qui se passe... Vous ne seriez pas confus vous, si on vous renvoyait 
              dans le temps??? Remake du court métrage français 
              La Jetée [1962]. 
               
            
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