|  SLAVE 
              GIRLS OF THE S.S. 10 
              mars 2008 - par Johnny
 
 
  À 
              l'aube de la chute du IIIe Reich, un savant fou du nom de Doktor 
              Cock-Luv effectue des expériences sexuelles sur trois 
              jolies prisonnières américaines. Ces tests aryens 
              consistent à injecter du LSD aux spécimens féminins 
              puis à insérer l'engin reproducteur d'un S.S. afin 
              de quantifier les vibrations ressenties par les appareils vaginaux 
              de l'Oncle Sam! Ooooooookeeeey! 
 Essentiellement 
              divisé en trois actes, ce film ordurier de l'exploitation 
              nazi débute avec une blondinette peu craintive par la pénétration 
              d'une verge germanique, admettant au passage qu'elle en a vu d'autre 
              dans son Texas natal! La seconde fille est une brunette nymphomane 
              qui, non seulement fait exploser l'orgasmomètre du 
              Doktor mais vide par la même occasion le sac d'un jeune hitlérien! 
              Finalement, après avoir syphonné son geôlier, 
              une rousse avide s'adonne à un combo lesbo-dildo avec une 
              copine! Puis les Marines américains débarquent au 
              château-fort phallique du Doktor et libèrent les salopes. 
              Un officier allemand y va alors d'une excellente déclaration: 
              "Let's have a cigarette before we die". Et tout 
              ça sur fond de musique militaire teutonne!
 
 Entrecoupé d'interludes explicites [dont cinq fellations], 
              Slave Girls of the S.S. offre plus de matériel choquant 
              que tous les "rip-offs" d'Elsa 
              La Louve des S.S. réunis! Ce "west coast 
              fuck film" est d'une subversité inouïe. Mais 
              attention, ça ne veut pas dire que c'est un film divertissant, 
              au contraire. Cru, grossier, vulgaire. On pourrait le cataloguer 
              dans la catégorie "excrément cinématographique". 
              Les acteurs sont pourris, les dialogues sont abominables, le montage 
              est sautillant, la qualité de l'image est atroce et le son 
              est défaillant [dans ce cas précis, c'est une bonne 
              chose]. Et pour conclure, celui qui incarne le Doktor [Jerry 
              Delony, il apparait dans Ilsa 
              Harem Keeper of the Oil Sheiks] mériterait de mourir 
              pour cette performance lamentable.
 
 
        
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